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Traque-ténèbres
41 ans
Humain
Avarice

Aron, le Purifié

La flamme d'Ignis purifiera ce monde des ténèbres
Humain
Homme
Feu
41 ans
185 cm
Givre-nés
Avarice
Loyal
Bon

Névrosisme Tendance à ressentir facilement des émotions négatives telles que l'anxiété, la colère, le désespoir... Attitude souvent traduite par de l'agitation, du stress, du pessimisme et de la méfiance pouvant dans des cas extrêmes se transformer en paranoïa.
Agréabilité Tendance à être compatissant et coopératif. Importance accordée à la bonne entente avec les autres au détriment de la force de caractère, de l'inflexibilité des opinions et de la capacité à imposer une décision.
Conscienciosité Importance accordée à l'organisation et la planification au détriment de la spontanéité. Les personnes consciencieuses ont tendance à apprécier le prévisible, l'exactitude et tendent vers le perfectionnisme dans leur travail.
Extraversion Importance accordée à la compagnie des autres et aux interactions sociales. Une personne extravertie a tendance à rechercher la stimulation et à accorder une importance particulière à sa vie sociale.
Ouverture Appréciation de l'art, de l'émotion, de l'aventure, des idées peu communes ou des idées nouvelles, curiosité et imagination au détriment de la tradition.

Description mentale

Pieux
Stoïque
Conciliant
Laconique
Observateur
Une foi devenue vraie, inébranlable. Celle d'Ignis, de sa flamme purificatrice. Cette interprétation de sa foi, il en est convaincu. Il avait dévié de son chemin, le feu lui a rappelé au prix fort sa déviance. Persuadé d'être lavé de ses péchés par le feu, marqué dans sa chair, son esprit devient dévoué, pieux. Il n'en est pas fanatique pour autant, mais reste fermement croyant en sa vision d'Ignis, en sa Lumière, en sa Chaleur, en sa Flamme. Persuadé que la divinité lui a ainsi donné une seconde chance, il est convaincu que quiconque peut être guidé vers la bonne voie si on lui en donne l'occasion.

Pour sa mission, il sait être observateur vigilant, homme de peu de mots que l'on croirait imperturbable. Il a subi les flammes, il saura encaisser les verbes incisifs comme les vénéneuses injures. Il répondra par des mots choisis, des phrases concises, sans détour ni passe-partout. Un homme d'action plutôt que de parole, un homme de terrain plutôt que de bureau, il sait cependant se montrer conciliant, compréhensif, voire compatissant. Il sait écouter en silence, n'intervenant qu'au bon moment.

Son avis est appuyé, sans ambages, avec cependant un respect des règles de la guilde à laquelle il a voué le reste de son existence. Il sera protecteur envers les recrues, impitoyable envers les ennemis. Trahissez sa confiance, et il vous traquera sans relâche jusqu'à ce que la justice d'Ignis soit faite. Il n'hésitera pas à partir en mission et à aider ses camarades. Il n'hésitera pas également à brandir son épée face aux Nihilim même hors des missions de guildes si cela peut l'amener à sauver des vies et alléger son fardeau.

Description physique

Feat : Darkest Dungeon - Leper - Darkest Dungeon
On le disait charmeur au sourire ravageur, élégant au visage charmant, au geste maniéré et à l'humour pinçant. Autrefois meneur d'hommes sans foi ni loi, son apparence de dandy assuré cachait son manque d'intérêt pour d'autres personnes que lui-même - à l'exception de ceux qui l'accompagnait dans ses méfaits. L'homme séduisait, trompait la vigilance de ses victimes avant de les déposséder de tous leurs biens, et tous les moyens étaient bons pour les obtenir. Le bandit qu'il était inondait de vices, mais l'avarice primait sur tout le reste. Il se croyait au-dessus de tout, et surtout des lois. Rien ne l'arrêtait, ni les obstacles, ni les lames. Quand il le voulait, il le prenait. Vêtements marqués de rouge, son épée longue à larges bords étaient souvent un moyen de dissuasion efficace pour obtenir ce qu'il souhaite. Les rumeurs l'avaient ainsi surnommés Heoroth l'Ecarlate. Il était un salaud à l'apparence d'un homme bien sous tous rapports. Un renégat, un renégat. Un gredin sans scrupules, né pour voler et piller. Mais Ignis ne le voyait pas ainsi. Désormais marqué par les flammes, cet homme, autrefois brigand de premier ordre, a vu la lumière. Il a vu la souffrance. Il a vu ce que ses vices ont amené en ce monde. Il a vu les démons en surgir et frapper à vue. Il a vu le feu purifier son âme autant qu'il dévorait sa peau. Alors il arpente un autre chemin, celui de cette rédemption qu'il avait jugé futile et inutile, celui de cette foi désormais restaurée. Sa colère devient patience, son avarice devient bonté. La flamme d'Ignis, celle qu'il interprète comme purificatrice, lui a ouvert la voie, et offert une seconde chance. Alors, plutôt que de piller, prendre et voler, il tend la main, il partage le pain. Il devient un répurgateur, un chasseur de démons. Arborant un plastron épais ainsi que des vêtements et des bandages, il dissimule sa peau atrocement brûlée. Son visage autrefois charmant n'est plus qu'un chaotique amalgame de peau brûlée qu'un masque de bronze protège des yeux trop curieux. Sa fidèle lame Radamanthe désormais brisée à la pointe sert sa quête d'un monde purifié des nihilim. Changé pour le mieux, marqué du sceau incandescent de la honte, il sait dorénavant que s'écarter de son chemin reviendrait à être châtié. Voilé d'un châle blanc, il porte le lourd fardeau de sa culpabilité. Pour chaque nihilim expiré par Radamanthe, il fait un pas vers la lumière d'Ignis, laissant toujours plus loin un passé englouti par les ténèbres. Pour ses confrères, il est un vieux briscard, un vétéran de la traque, respecté pour son travail et pour ses aptitudes martiales forgées bien avant que les flammes n'aient rongé son corps. Il parle peu, et va droit au but. Le guerrier ne hausse pas le ton, ni n'use de messes basses. L'homme est le premier à répondre à un appel à l'aide, le premier à tendre la main. Pour les autres, il est un personnage dont le mystère plane. Il ne fera rien pour dissimuler la vérité sur son passé, mais il ne dira rien pour amener les curieux à s'en préoccuper. Heoroth l'Ecarlate est mort dans les flammes. Et de ces flammes naquit Aron, le Purifié.

Histoire

Occupation : Traque-ténèbres
"Méfiez-vous de son sourire, voyageur. Il vous charmera autant qu'il vous trompera."
Né dans les milieux aisés de Frostwolf, d'une riche famille de marchands, l'homme autrefois nommé Heoroth de Martan était né avec une cuillère en argent. Il avait tout entre ses mains durant toute son enfance : éducation rigoureuse, étiquette, or, vêtements d'apparat. Il était prédestiné à prendre la succession du père. Il voulait tout, mais l'avarice de l'enfant s'intensifia à mesure que le temps passait. Et in détestait cette prison dorée où tout était planifié à l'avance, imposé par ce patriarche dont il devait hériter de l'empire. Heoroth voulait jouir d'une liberté totale, user de ce pouvoir comme il l'entend, de tout cet or comme il le sent. Alors il comptait les jours, les mois, les années. Il guettait le moment où il pourra s'envoler de ses propres ailes. Pendant ce temps, il se perfectionnait au maniement de l'épée, il découvrait les premières étincelles de sa magie de foudre, il étudiait l'art et la manière, l'histoire et le droit. Il étudiait pour mieux les contourner. Il apprenait pour mieux ramener à lui toutes ces richesses qui l'attendaient. Mais le pater familias gardait toute cette forme olympique qu'il arborait fièrement. Attendre sa mort n'était pas dans ses plans et le titre de noblesse n'était à ses yeux qu'une laisse trop serrée à sa gorge. Il comptait les grains du sablier, expérimentait des choses, flirtait avec l'interdit. Il avait cette fascination pour le feu, pour ces flammes dansantes en toute liberté. Il voulait être ce feu. Peu à peu, l'idée de franchir la porte de la demeure des Martan lui vrilla l'esprit. Partir se forger son propre nom, amasser sa propre richesse rien qu'à lui. Alors il quitta la maison familiale, sans un mot mais avec un petit pactole. Il avait dix-huit ans. Très vite, il entrait dans le banditisme les deux pieds joints. D'abord en solo, dévalisant des passants ayant le malheur de s'aventurer dans des ruelles peu fréquentées, son visage caché par un foulard rouge. Il ne laissait rien de précieux sur son sillage lors de ses méfaits. Il continuait ses expériences du larcin, rien ne l'arrêtait dans son ambition de récupérer tout ce qu'il voit et ce qu'il veut. Sa réputation de tire-laine fit le tour des contrées du Nord, et peu à peu un petit groupe se forma autour d'Heoroth. Tous vénaux, tous animés d'un même but : faire ce qui leur plaît, et acquérir ce qu'ils veulent. Cette bande s'organisa, ils mirent en place des embuscades, trouvèrent une planque pour entasser leur butin. Heoroth abandonna son nom, les rumeurs lui en donnèrent un autre : l'Ecarlate. Jusqu'à l'aube de ses trente ans, la bande de l'Ecarlate sillonnèrent les chemins, attaquant les caravanes, dévalisant les riches marchands, avec parfois des dommages collatéraux fâcheux. Heoroth voulait de ces richesses d'autrui. Il se sentait enfin libre, il se sentait maître de son destin. Les camarades parfois mouraient ou se faisaient prendre, d'autres prenaient leurs places, mais lui consolidait sa réputation de bandit notoire. Loin de craindre les primes sur sa tête, Heoroth se plaisait dans cette vie de malfrat. Il n'avait aucune limite à son bon plaisir, à ses envies, à son avarice. Avarice qui le mena à sa perte, alors que lui et sa bande décidèrent de frapper un grand coup et de piller la planque d'un autre groupe de brigands. Entreprise audacieuse ciblant un village soi-disant abandonné, mais Heoroth l'Ecarlate voulait à tout prix s'enrichir. Alors l'attaque débuta dans la nuit. Mais ce qui devait n'être qu'une embuscade rondement menée tourna au cauchemar lorsque des formes noires s'abattirent sur tous les loubards, alliés comme ennemis. Ce fut la première rencontre d'Heoroth avec ces êtres de ténèbres qu'il connaîtrait sous le nom de Nihilim. Et ils étaient venus pour eux. A cause de leurs vices. Malgré leurs talents martiaux, les malfrats tombèrent un à un sous les coups de griffes et de crocs de ces créatures démoniaque. Dans un dernier élan désespéré, Heoroth en appela à Ignis et mit le feu aux bâtiments de bois, espérant éloigner ces monstres. Il réussit, mais à un prix très élevé. encerclé par les flammes, il avait mal jugé le vent, et fut pris lui-même dans la tourmente infernale. Lorsque des jours après, un petit groupe de voyageurs tombèrent sur les ruines fumant encore et sur les cadavres calcinés de nombres d'individus non reconnaissables, ils virent que l'un d'eux respirait encore faiblement malgré sa peau rongée par le feu.
Comment avait-il pu survivre à ce carnage ? L'homme autrefois appelé Heoroth se le demandait encore. Et à chaque fois, une réponse lui parvenait à son esprit pieux : Ignis l'avait puni, mais en contrepartie lui avait laissé la vie sauve. Des mois à souffrir le martyre. Des mois cloué au lit, la respiration brûlante. Des mois à ressasser les évènements, son passé, ses exactions et ses démons. Un temps interminable à apprendre et comprendre, alors que la femme qui l'avait recueilli le soignait chaque jour. Cette parfaite inconnue ne l'avait pas reconnu, sa face défigurée par les flammes. Ou peut-être le savait-elle et avait choisi de s'en ficher. Alors l'homme recouvrait peu à peu des forces, la douleur s'estompait à mesure que l'onguent faisait effet. Qui était cette femme dont il était totalement indifférent ? Pourquoi l'avait-il sauvée d'une mort certaine ? La guérisseuse lui apporta une première réponse. Elle l'avait fait car une vie était en jeu, et que la Terre Mère n'allait pas lui permettre de laisser cette vie s'envoler. Lorsque ses premiers mots purent être prononcés sans suffoquer à chaque inspiration, le grand brûlé confronta cette femme chaque fois qu'elle changeait ses bandages et appliquait sa décoction médicinale. Il but ses paroles, d'abord incrédule, cynique. Puis il commença à comprendre, à la voir autrement qu'une bourse à pièces d'or. Pour la première fois, il commençait à avoir de l'estime pour quelqu'un. Lorsqu'il échangèrent leurs noms, l'homme décida d'abandonner son prénom. D'abord par crainte d'être confondu. Il adopta le sobriquet d'Aron. Son coeur se remplit d'une énergie nouvelle, plus pure, la noirceur de l'âme qui l'habitait s'étiolait jusqu'à n'être qu'un souvenir enfoui au plus profond de son être. Ainsi vint le temps de la réflexion, il sentit tout le fardeau de la culpabilité peser sur ses épaules roussies par le feu. Il se demandait ce qu'il allait devenir, alors que lui-même avait changé. Ignis lui avait offert une seconde chance. Mais pouvait-il seulement avoir le droit à la rédemption après des années à commettre des crimes odieux ? Il repensa à ces démons apparus devant lui. Il en parla à sa sauveuse. Elle ignorait ce qu'ils étaient vraiment, mais elle savait une chose : ils étaient attirés par les vices de chacun. L'homme lui demanda comment elle connaissait cela. Elle lui répondit qu'elle était comme lui, une pécheresse, devenue paria de son propre chef pour espérer fuir ces monstres. Il allait devoir s'absoudre de ses propres péchés, se repentir avant que ces créatures ne reviennent finir ce qu'ils avaient commencé. Un déclic dans son esprit torturé par le regret. Une lumière dans un océan de ténèbres. Il avait désormais un but. Un an après le drame, entièrement voilé de blanc et de bandages, le visage caché par un grand foulard blanc, Aron délaissa la guérisseuse et partit seul, armé de Radamanthe, son épée qui ne l'avait jamais quittée. Le seul vestige d'un passé pourri, un rappel constant de la noirceur de son âme qu'il voulait désormais purifier. Elle aussi avait souffert, lame brisée aux deux-tiers. L'homme refusait de la réparer, portant elle-aussi le même fardeau d'une vie décadente. Aron se sentit chargé d'une mission désormais sacrée : purifier le monde de ces nihilim. Et purifier son âme souillée par les vices. Il allait où les rumeurs de nihilim l'envoyait. Aron se forgea ainsi un corps rompu au combat face à ces créatures prenant diverses formes. Il les étudiait pendant qu'il les traquait, seul, sans autres ressources que son instinct et sa foi personnelle en la flamme d'Ignis. Il se mit à les traquer, un à un, dans le seul but de les exterminer. Pendant deux années, Aron continuait de les chasser sans relâche, voguant de contrée en contrée là où les voix murmurées le menaient. Il avait depuis troqué son foulard blanc contre un masque en bronze occultant son faciès hideux, ses vêtements de maigre tissu contre un plastron épais. Seul son châle blanc était reconnaissable pour les pauvres hères ayant eu vent d'un guerrier à l'épée brisée et au voile clair chassant les démons. Une nuit, alors qu'il priait Ignis devant son feu de camp, il fut accosté par un groupe d'hommes et de femmes tous habillés de noir, portant un insigne identique à chacun. Ils se présentaient comme appartenant à la guilde des Traque-ténèbres, et avaient le même but que lui. Ces rôdeurs l'avaient observé de loin lors de ses traques, étudiant les rumeurs d'un homme chassant à lui seul les créatures de l'Autre côté. Ils lui proposèrent une place à leurs côtés, au sein de la Guilde, jugeant Aron digne de faire partie des leurs. A la seule condition de passer un interrogatoire. Le chasseur solitaire leur offrit son maigre repas, mais préféra prendre le temps de la réflexion. Aron avait toujours souhaité arpenter seul la voie de la traque. Porter seul le fardeau d'un lourd passé. Tracer son propre chemin. Mais lorsque cette femme lui expliquait leurs préceptes et les ressources à leur disposition, sans s'épancher sur les détails de leur organisation, il pesa le pour et le contre. Avec Radamanthe et ses seuls talents, aussi affûtés qu'ils soient, il ne pouvait se frayer longtemps un chemin à travers les ténèbres de ses remords, mais il chérissait sa totale liberté d'action. Mais l'idée de rejoindre une organisation reconnue, des frères d'armes, un toit et des ressources bien plus importantes que ses maigres possessions le taraudait également. Alors le lendemain, il revit le groupe, et accepta leur proposition. Ils l'interrogèrent, le soumirent à une potion de vérité, fouillé dans ses pensées. L'homme n'avait rien à cacher, il avait suivi cette voie pour se repentir, ou mourir en essayant. Son regard reflétait sa foi, et sa détermination à aller jusqu'au bout de sa quête. Alors il fut emmené à Kerendir. Depuis lors, affublé de l'insigne des traque-ténèbres, il intégra l'unité de traqueurs de la Guilde, et fit ses preuves. Pendant les huit années au sein des traque-ténèbres, son fardeau finit par s'alléger, le poids des regrets devenu supportable au fil du temps. Il se sentait purifié auprès de ses compagnons d'armes. Ses qualités martiales n'étaient plus à prouver, et il continuait d'apprendre auprès de la Guilde toutes les manières possibles d'éliminer les Nihilim. Il apprit également l'existence de la Chasse Sauvage, et voua alors sa vie à accomplir cette nouvelle quête sans faillir. Cette femme, cette elfe qui l'avait accosté avec son groupe de reconnaissance, lui rappelait ses vieux démons. Ses vices l'ayant menés à une vie de débauche jonchée de l'or d'autrui. Elle lui rappelait à quel point il s'était égaré. Cette femme, devenue capitaine de son unité, puis cheffe de la Guilde toute entière depuis peu, il l'avait observée pendant tout ce temps. En son for intérieur, il était heureux de voir à quel point il s'était fourvoyé. A quel point le chemin vers la rédemption est long et sinueux avant d'être digne de la lumière d'Ignis.
Réputation
Réputation négative au sein des Givre-nés de par son passé de brigand. Réputation au sein de la Guilde des Traque-ténèbres de par son appartenance depuis des années.

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